CHAPITRE PREMIER
INTRODUCTION
1. Trọng ni se reposait dans un moment de loisir. Tăng tử
était assis à ses côtés. – 2. Le Philosophe dit: Les anciens Rois
possédaient une suprême vertu et une doctrine parfaite, à
l’aide de laquelle ils se mirent à l’unisson avec l’Empire. Le
people jouissait de la concorde et de l’harmonie; les
supérieurs et les inférieurs n’avaient point de sentiments
hostiles. O toi, savais-tu cela? – 3. Tăng tử se leva de sa na e
et dit: Moi, Sàm, je ne suis pas instruit; comment serais-je
parvenu à le savoir? – 4. Le Philosophe dit: Or la Piété filial
est l’origine de la vertu, ce d’où découle toute science.
Assieds- toi de nouveau; je te l’expliquerai. Notre corps et
nos members, nos cheveux et la peau, nous les avons reçus
de notre père et de notre mère; nous n’osons les laisser
détruire ni les mutiler; tel est le commencement de la Piété
filial. Elever notre personne, pratiquer la morale, transme re
notre nom aux générations futures pour illustrer notre père
et notre mère ; telle est la fin de la Piété filiale. Or la Piété
filial commence par le service des parents, elle a pour milieu
le service du Prince, et elle a pour fin l’élévation de soi-même
. – 5. Dans la section Đại nhã du Livre canonique des
Poésies, on dit: ne manquez pas de songer à vos ancêtres;
a achez-vous à imiter leurs vertus.