ẤU HỌC KHẢI MÔNG - Trang 14

CHAPITRE SEPTIÈME

DES TROIS PUISSANCES

1. Le Disciple Tăng tử dit: Qu’elle est excellente la

grandeur de la Piété filiale! – 2. Le Philosophe dit: En effet la
Piété filiale est la loi constante du Ciel, la règle de production
de la Terre et la ligne de conduite du peuple. Constante au
Ciel et sur la Terre, alors le people la prend pour règle. En
suivant les lumières du Ciel et en se conformant aux intérêts
de la Terre, les anciens Rois se me aient à l’unisson avec ce
qui est sous le ciel (l’ Empire). De la sorte, leurs
enseignements n’étaient point rigoureux, et ils a eignaient
leur but; leur administration n’étaient pas sévère, et l’Empire
était bien gouverné. Les anciens Rois virent comment leur
enseignement pouvait transformer le peuple, en
conséquence, plaçant ces principes en première ligne, ils
pratiquèrent un amour universel, et parmi le peuple il n’y
eut personne qui négligeât ses parents; en établissant avec
soin ces principes, ils pratiquèrent la vertu et la justice, et le
peuple loua leur conduite; en plaçant ces principes en
première ligne, ils pratiquèrent le respect d’autrui et la
courtoisie, et le peuple n’eut point de disputes. Ils le
conduisirent au moyen des rites et de la musique (harmonie
), et le people vécut dans la concorde et dans la paix. Ils
montrèrent leur désir et leur répugnance, et le peuple
comprit leurs prohibitions. – 3. Le Livre des Poésies dit: Que

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