« Pour moy je vous adoüe que quand je fus arriué à la
Cochinchine, et que j’entendois parler les naturels du païs,
particulierement les femmes ; il me sembloit d’entendre
gasoüiller des oyseaux, et je perdois l’esperance de la pouuoir
jamais aprendre » (RHODES, Divers voyages et missions du P.
Alexandre de Rhodes en Chine, et autre Royaumes de l’Orient,
Paris, 1653, tr. 72).